LIBERTY IS MY RELIGION
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 S U R P L U S {5/6

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MessageSujet: S U R P L U S {5/6   S U R P L U S {5/6 Icon_minitimeSam 18 Sep - 14:21

Surplus
description
Ils sont ceux dont le monde n'a jamais voulu, ceux qui sont nés d'une idylle ou d'une malencontreuse aventure. Leur naissance, ils la paye cher chaque jour; la faute de leurs parents, ils la réparent tant bien que mal par leur soumission.
    danae p jones
    feat MILAS KUNIS
      FREE


    francesca m willow
    feat KAYA SCODELARIO
      FREE


    jean m harrison
    feat KRISTEN STEWART
      TAKEN


Dernière édition par Jean M. Harrison le Jeu 21 Oct - 14:58, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: S U R P L U S {5/6   S U R P L U S {5/6 Icon_minitimeJeu 7 Oct - 19:04

Danae Patricia Jones
son histoire
Née en , elle grandit à New York, dans le quartier Manatthan. Fille d'une famille aisée, elle déménagea en Angleterre lorsqu'elle avait huit ans. Mais lorsqu'elle en avait seize, lors
[A DÉVELOPPER]
son caractère
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
Mais, si nous avons perdu une bataille, nous n'avons pas perdu la guerre. Il reste encore l'espoir, l'espoir de vivre, de changer ce monde débile, et la rage, qui nous fait tenir debout.
mais sinon en bref
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
Mais, si nous avons perdu une bataille, nous n'avons pas perdu la guerre. Il reste encore l'espoir, l'espoir de vivre, de changer ce monde débile, et la rage, qui nous fait tenir debout..


Dernière édition par Jean M. Harrison le Sam 16 Oct - 13:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: S U R P L U S {5/6   S U R P L U S {5/6 Icon_minitimeJeu 7 Oct - 19:10

Francesca Michele Willow
son histoire
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
Mais, si nous avons perdu une bataille, nous n'avons pas perdu la guerre. Il reste encore l'espoir, l'espoir de vivre, de changer ce monde débile, et la rage, qui nous fait tenir debout.
son caractère
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
Mais, si nous avons perdu une bataille, nous n'avons pas perdu la guerre. Il reste encore l'espoir, l'espoir de vivre, de changer ce monde débile, et la rage, qui nous fait tenir debout.
mais sinon en bref
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
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MessageSujet: Re: S U R P L U S {5/6   S U R P L U S {5/6 Icon_minitimeSam 16 Oct - 12:35

Jean Mackenzie Harrison
son histoire
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
Mais, si nous avons perdu une bataille, nous n'avons pas perdu la guerre. Il reste encore l'espoir, l'espoir de vivre, de changer ce monde débile, et la rage, qui nous fait tenir debout.
son caractère
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
Mais, si nous avons perdu une bataille, nous n'avons pas perdu la guerre. Il reste encore l'espoir, l'espoir de vivre, de changer ce monde débile, et la rage, qui nous fait tenir debout.
mais sinon en bref
Woodstock. L'ïle de Wight. Mai 68. Les sixties, les révoltes pacifiques, la guerre du Vietnam, la frustration d'une jeunesse oubliée. Oui, nos parents en avaient marre, de ce monde pourrit dans lequel ils mettaient les deux pieds. Ils se sont battus avec des mots, des idées, des idéaux, tout ou rien, juste histoire de faire entendre leur voix et de pouvoir dire merde à leurs parents. L'amour, l'orient, la paix, l'égalité, le sex sans limites. Ils voulaient tout, ils voulaient vivre à cent à l'heure. Mais lorsque la ferveur est retombées, ils ont dut chausser les vieux souliers de leurs parents. Et ont recommencé à vivre dans la peur, peur du changement, peur de ne pas suivre ce monde qui tournait vite, beaucoup trop vite. Peur des jeunes qui avaient pris leur place.
Après la violence et la rage du mouvement punk, toutes les idées de révolte, tous les espoirs du lendemain ont disparus. Eparpillés au grès du vent ou entre les paroles d'hommes politiques. Les jeunes avaient fait le pire. Les jeunes étaient dangereux. Il fallait faire une loi pour que ces satanés jeunes soient matés. Des règles ont étés mises en places, des règles qui nous bouchaient l'horizon, nous empêchaient de voir plus loin que l'existence stagnante que les adultes nous offraient. Les gens faisaient de moins en moins d'enfant. Après le baby boom, l'adult boom nous menaçait.
Des écoles spéciales furent construites à travers toute l'Angleterre. Ils appelaient ça des "Lycées de Préparation à la Vie Active et Responsable", LPVAR pour les intimes. On appelle ça plus communément le bagne. De tous ces lycées, Abbey School était le plus grand. Situé aux alentours de Londres, il accueillait plusieurs centaines d'élèves, des élèves venant de familles habitant dans les quartiers défavorisés le plus souvent. Des élèves qui avaient eut le malheur d'oser se rebeller, le malheur de refuser de plonger dans le quotidien monothone et sans saveur des adultes, ou ceux qui avaient tout simplement eu le malheur de naître. Ici-bas règne la sévèrité. Des mouchards sont payées pour rapporter tous les faits et gestes des élèves. On est cernés de tous les côtés.
Mais, si nous avons perdu une bataille, nous n'avons pas perdu la guerre. Il reste encore l'espoir, l'espoir de vivre, de changer ce monde débile, et la rage, qui nous fait tenir debout..
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